De la première à la dernière page de Cadavre X (Black notice en VO), les calamités s’abattent sur Kay Scarpetta, l’héroïne médecin-légiste de Patricia Cornwell : son compagnon assassiné hante ses nuits, son collègue est balourd et brutal, sa nièce flic a un comportement suicidaire, ses employés se méfient d’elle ou la trahissent, une sombre machination veut la chasser de son poste… et un cadavre inconnu est retrouvé dans un container arrivé des Pays-Bas. Tout cela, alors que Noël approche !
Sa traque la mène sur la piste d’un véritable homme-loup, rejeton honteux d’une noble famille parisienne habitant l’Ile Saint-Louis (apparemment dans l’immeuble-même où ont vécu Baudelaire et Théophile Gautier, l’hôtel Pimodan, 17 quai d’Anjou).
Par un saut brutal du récit, parce qu’elle a transmis des éléments de son enquête à Interpol, la voici en effet soudain appelée de l’autre côté de l’Atlantique, à Paris puis à Lyon, puis de nouveau à Paris.
Dans la capitale, elle descend au Grand Hôtel, situé 12 boulevard des Capucines près de l’Opéra et dont le luxe l’impressionne. Il y a de quoi : 700 chambres et 70 suites à son ouverture dans les années 1860 ! Transformé en 1956 et 1976, il conserve sa vaste salle à manger et sa grande cour sous verrière.
Non loin, le café Runtz, rue Favart, accueille Kay en compagnie de Jay Talley, un policier américain qui ne lui est pas indifférent
Elle rend visite à son homologue à l’Institut médico-légal, quai de la Rapée, afin de recouper les indices qu’elle possède avec d’autres indices recueillis à Paris.
Quelques cadavres plus loin, la traque policière et tous ses autres problèmes trouveront miraculeusement leur solution
en même temps, à minuit, dans son jardin, après une chaude lutte avec le loup-garou.