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Dans l’impasse du Doyenné à Paris, vers 1835

En 1835, le 3 impasse du Doyenné accueille une bohême aisée, autour du peintre Camille Rogier et de Gérard Labrunie (bientôt de Nerval), les deux locataires du lieu – Rogier habitait auparavant 5 rue des Beaux Arts. Arsène Houssaye les rejoint bientôt. Théophile Gautier habite alors à quelques dizaines de mètres, rue du Doyenné. Sur les plans et dans les écrits de l’époque, on confond souvent l’impasse et la rue du Doyenné. Tout ce quartier sera définitivement rayé de la carte en 1850. Essayons d’y voir un peu plus clair.