À Elven, entre Rennes et Vannes dans le Morbihan, le beau manoir de Kerleau (ou Kerlo) résiste au […]
René DESCARTES à Kerleau et au château de Crévy (La Chapelle-Caro)
CHATEAUBRIAND à Saint-Malo et Dinan.
[/« Je remplissais la maison de tous les polissons de la ville. » Mémoires de ma vie, Chateaubriand/]. François-René naît […]
Joseph ROTH à Paris (1933-1939) – Fin
(Suite de 809). 9 juillet 1936 Roth accepte une invitation de Zweig à Ostende. Il y retrouve Hermann […]
Joseph ROTH à Paris (1933-1939) – Début
30 janvier 1933 Roth part à Paris, comme prévu, avec Andrea Manga Bell (fille d’un pianiste noir cubain […]
Victor SEGALEN
La ville de Brest, détruite lors de la seconde guerre mondiale, a vu partir en fumée les traces de ses écrivains. Disparus l’école navale (qui eut comme élève Pierre Loti), l’école de médecine navale (qui reçut Victor Segalen en 1896), le lycée (qui accueillit Segalen et Alain-Fournier et où Jules Romains enseigna la philosophie), le bagne, décrit par Flaubert dans Par les champs et par les grèves. Un autre élève de la ville fut François-René de Chateaubriand.
Une plaque garde cependant le souvenir de l’emplacement de la maison natale de Louis Hémon, 4 rue Voltaire, et de celle d’Henri Queffélec 33 rue Pierre Brossolette (place du château). Alain Robbe-Grillet est né quant à lui 26 rue Franchet d’Esperey.
Et la maison natale de Segalen a été miraculeusement préservée, 17 rue Massillon.
Chez le baron Cuvier
Au milieu des années 1820, Stendhal fréquente le salon des Ancelot. Mme Ancelot, à la recherche de beaux […]
Eugène-François VIDOCQ à Arras, Lille, Rouen, Paris, Versailles
Eugène-François, un écrivain ? Un peu, si l’on considère qu’il a collaboré aux Mémoires qu’il a signées de […]
Gédéon TALLEMANT DES REAUX à Paris et Réaux
Pendant deux siècles, Tallemant des réaux est pratiquement absent des ouvrages d’histoire littéraire. Ses volumes d’Historiettes sont diffusés […]
Gustave FLAUBERT et Maxime Du CAMP à Ancenis
Quelques semaines avant les deux révolutions de 1848, entre mai et août 1847, Max(ime) Du Camp et Gustave […]
Joachim du BELLAY à La Turmelière, à Paris et à Liré
« S’il est un poète maudit, c’est bien Joachim Du Bellay ! Éternel second de la Fortune, aujourd’hui encore la gloire de son ami et rival Ronsard éclipse la sienne », écrit Evelyne Bloch-Dano en septembre 2007 dans le Magazine littéraire n° 467.
À quelques kilomètres de Liré, les murs du château de La Turmelière disparaissent peu à peu dans la végétation.