C’est le premier logement parisien de Georges Simenon, en décembre 1922/janvier 1923.
L’hôtel Bertha à Paris
La mort de « La Dame aux Camélias »
En 1865, dix huit ans après le décès de Marie Duplessis, Dumas père, dans une lettre adressée à « un docteur », raconte à sa façon les derniers jours et la mort de la Dame aux camélias.
Dans le dialogue qu’il écrit, il enjolive la vérité en se donnant le beau rôle.
Le café Wolff et le pâtissier Grû
La troisième station du chemin de croix des jeunes gens de la Brasserie des Martyrs.
La crémerie de la rue Saint-Georges
En 1879, une jeune couturière déjeunant avec sa mère dans cette crémerie fit la connaissance d’Auguste Renoir qui y prenait tous les jours ses repas.
Le café sans nom
Un jeune homme, aux cheveux teints en vert, les ongles manucurés… il avait pour nom : Charles Baudelaire.
Le Grand Orient de France
En 1940, le Grand Orient fut dissout et remplacé par un groupe anti-maçonnique dirigé par des occultistes chargés de la propagande destinée à discréditer l’Ordre dans l’opinion, avec des accusations de sorcellerie et toutes sortes de crimes et de complots.
La maison de santé de la rue de la Folie-Méricourt
Chirurgien de la reine en 1678, du duc d’Orléans en 1683 et du roi en 1687, apothicaire-épicier établi 2 rue Guénégaud, il s’était enrichi très tôt grâce à des recettes volées à des confrères et à son sens aigu de la publicité.
Le cabaret du Père Lunette
Le Théâtre Bobino
Vu par Charles Monselet dans Le Petit Paris.
Où l’on pouvait voire et entendre des pièces immortelles comme :
V’lan ça y est, Tire-toi d’là, Paris qui danse !
C’était un théâtre d’étudiants qui était tenu par un nommé Bobineau, directeur, souffleur, acteur et aboyeur à la porte.
Le prix des places variait de 8 à 16 sous.
Le théâtre présent sous la restauration ferma ses portes à la fin du second empire. Harles Monselet en donne une superbe description.
Le bal du Prado
Dans l’Ile de la Cité
Aujourd’hui au Tribunal de Commerce boulevard du Palais