Chirurgien de la reine en 1678, du duc d’Orléans en 1683 et du roi en 1687, apothicaire-épicier établi 2 rue Guénégaud, il s’était enrichi très tôt grâce à des recettes volées à des confrères et à son sens aigu de la publicité.
La maison de santé de la rue de la Folie-Méricourt
Le Grand Orient de France
En 1940, le Grand Orient fut dissout et remplacé par un groupe anti-maçonnique dirigé par des occultistes chargés de la propagande destinée à discréditer l’Ordre dans l’opinion, avec des accusations de sorcellerie et toutes sortes de crimes et de complots.
La Maison de l’Oncle Fulber
10 rue Chanoinesse
Pour les uns
1 rue des Chantres
Pour les autres
Félix Fénéon à Paris, Châtenay-Malabry…
Félix naît en 1861 à Turin, d’un voyageur de commerce bourguignon et d’une suissesse. Ses études secondaires se […]
Le cabaret du Père Lunette
Le Théâtre Bobino
Vu par Charles Monselet dans Le Petit Paris.
Où l’on pouvait voire et entendre des pièces immortelles comme :
V’lan ça y est, Tire-toi d’là, Paris qui danse !
C’était un théâtre d’étudiants qui était tenu par un nommé Bobineau, directeur, souffleur, acteur et aboyeur à la porte.
Le prix des places variait de 8 à 16 sous.
Le théâtre présent sous la restauration ferma ses portes à la fin du second empire. Harles Monselet en donne une superbe description.
Le bal du Prado
Dans l’Ile de la Cité
Aujourd’hui au Tribunal de Commerce boulevard du Palais
La Grande Chaumière
La Grande Chaumière, n°201 à 209 boulevard Raspail[[Boulevard d’Enfer en 1760, puis Raspail en 1887.]] et 112 à […]
La guinguette du Moulin-Joly
Nous devons aujourd’hui à l’inévitable abbé Lebeuf, pornographe malgré lui, l’histoire de ces petites îles situées entre Asnières et Argenteuil.
L’existence des druides est attestée par l’historien Léon Quénéhen qui signale : « Ne perdons pas de vue que les druidesses n’habitaient pas avec les druides, mais dans des îlots voisins, d’où elles venaient à des époques fixes, et la nuit, leur rendre visite, pour y retourner avant le jour. »
Le Château-Rouge
Le Château-Rouge était le tapis-franc le plus infâme du quartier de la place Maubert.
C’était un asile de nuit pour vagabonds qui, moyennant quelques centimes, étaient admis à « dormir à la corde», c’est-à-dire assis sur un banc, la tête appuyée contre une corde qu’on lâchait à deux heures du matin. Les pauvres bougres étaient alors jetés à la rue par le patron armé d’un nerf de bœuf, aidé dans sa triste besogne par des garçons qu’il avait recrutés parmi des lutteurs.
Voici un extrait :