La troisième station du chemin de croix des jeunes gens de la Brasserie des Martyrs.
Le café Wolff et le pâtissier Grû
Le café sans nom
Un jeune homme, aux cheveux teints en vert, les ongles manucurés… il avait pour nom : Charles Baudelaire.
La chute de la « Maison Thiers »
Quelques notices biographiques, quelques images et pièces justificatives.
La Chute de la « Maison Thiers »
Cette version est contredite par les historiens et chroniqueurs de cette période. Le bulletin de la société historique de la Ville de Paris indique que les meubles et objets furent transportés aux Tuileries et disparurent dans l’incendie allumé par la Commune le 26 mai… Un petit livre paru récemment reprend presque mot à mot sans la citer cette version.
L’historien académicien, le duc de Castres, annonce que l’hôtel fut brûlé à la fin de la Commune. Le pourtant très brillant historien Stéphane Rials règle cette histoire en deux lignes.
Il reste encore un travail énorme de recherches, et des sources sont encore inexploitées, tant aux archives du S.H.A.T qu’aux Archives nationales ou de Paris.
Le Grand Orient de France
En 1940, le Grand Orient fut dissout et remplacé par un groupe anti-maçonnique dirigé par des occultistes chargés de la propagande destinée à discréditer l’Ordre dans l’opinion, avec des accusations de sorcellerie et toutes sortes de crimes et de complots.
Les « Figaro » dans le neuvième arrondissement.
Si vous pouvez trouver dans les dictionnaires actuels, les noms de Mireille Truc et Johnny Machin, les noms cités ici n’y sont pas admis….
L’Oratoire ésotérique de l’Avenue Trudaine
Le Saint des Saints où resplendit la lumière infinie[[De son secrétaire Oswald Wirth (article de Pierre Mariel dans […]
La Brasserie des Martyrs
Au Petit Rocher
Le repas complet coûte trente sous, la spécialité maison est le pot-au-feu.
La démolition de l’Hôtel de la Place Saint-Georges
Grisettes, Bredas, Lorettes, Dégrafées, Allongées, Camélias, Linges, Torchons etc…