Dumas est dans la rue en février 1848, pour ce qui lui apparaît comme une nouvelle révolution romantique. Mais en mai et juin, c’est fini. Le peuple, pour lequel il croyait s’être battu en 1830 et en 1832 (lire les articles 375 et 507), est devenu à ses yeux un être brutal et repoussant.
Alexandre DUMAS et la révolution de 1848
La Maison Dorée
Une plaque commémorative vient d’être posée pour célébrer le plus représentatif du Paris romantique, grâce aux « Amis d’Alexandre Dumas, et à l’association « Autour du Père Tanguy ».
Victor HUGO
J’ai écrit ces notes [Choses vues], très consciencieuses du reste, dans les premiers mois de 1848. […] J’observais […]
Au milieu des manifestants de juin 1832 à Paris
Le 1er juin 1832, le général Lamarque décède du choléra qui sévit à Paris depuis février, touchant 40 […]
1830 : Paris se révolte
George Sand fête ses 26 ans le 1er juillet 1830. À la fin du mois, elle apprend à […]
Le quartier de la Nouvelle-Athènes
Cet article est de circonstance (pour ceux qui le liront dans dix ans, sachez que les Jeux olympiques […]
George Sand à La Châtre
Grâce au bicentenaire, les rues de La Châtre devraient s’orner de plaques indiquant les lieux sandiens disséminés dans […]
George SAND : Mauprat à Sainte-Sévère – Voyages autour de Nohant (4)
Le grand art de George Sand, qui se vérifie dans Mauprat comme dans Les Maîtres sonneurs et d’autres […]
George Sand à Gargilesse – Voyages autour de Nohant (3)
Vous vous en doutez, il est difficile d’éviter George Sand lorsque l’on se trouve aux alentours de Nohant […]
Au Maine-Giraud et à Angoulême.
« Je suis chez moi avec Mme de Vigny, dans un vieux manoir, au milieu des roches et […]