Nous devons aujourd’hui à l’inévitable abbé Lebeuf, pornographe malgré lui, l’histoire de ces petites îles situées entre Asnières et Argenteuil.
L’existence des druides est attestée par l’historien Léon Quénéhen qui signale : « Ne perdons pas de vue que les druidesses n’habitaient pas avec les druides, mais dans des îlots voisins, d’où elles venaient à des époques fixes, et la nuit, leur rendre visite, pour y retourner avant le jour. »
La guinguette du Moulin-Joly
La Grande Chaumière
La Grande Chaumière, n°201 à 209 boulevard Raspail[[Boulevard d’Enfer en 1760, puis Raspail en 1887.]] et 112 à […]
Le Château-Rouge
Le Château-Rouge était le tapis-franc le plus infâme du quartier de la place Maubert.
C’était un asile de nuit pour vagabonds qui, moyennant quelques centimes, étaient admis à « dormir à la corde», c’est-à-dire assis sur un banc, la tête appuyée contre une corde qu’on lâchait à deux heures du matin. Les pauvres bougres étaient alors jetés à la rue par le patron armé d’un nerf de bœuf, aidé dans sa triste besogne par des garçons qu’il avait recrutés parmi des lutteurs.
Voici un extrait :
Le Mouton-Blanc
Place du cimetière Saint-Jean 79 rue Saint Denis (ancienne numérotation).
Aujourd’hui, à l’angle de la rue de la Ferronnerie.
Les « Figaro » dans le neuvième arrondissement.
Si vous pouvez trouver dans les dictionnaires actuels, les noms de Mireille Truc et Johnny Machin, les noms cités ici n’y sont pas admis….
L’Oratoire ésotérique de l’Avenue Trudaine
Le Saint des Saints où resplendit la lumière infinie[[De son secrétaire Oswald Wirth (article de Pierre Mariel dans […]
La Brasserie des Martyrs
Au Petit Rocher
Le repas complet coûte trente sous, la spécialité maison est le pot-au-feu.
Le Cabaret de Paul Niquet
La rue aux Fers, aujourd’hui la rue Berger, commençait à la rue Saint-Denis, n°89, finissait aux rues de la Lingerie et à la rue du Marché-aux-Poirées n°2.
Elle n’avait pas de numéro impair, ce côté étant bordé par l’ancien cimetière devenu le marché des Innocents. Le dernier numéro pair était le 50.
Une association littéraire dans les salons de Madame Doublet
A l’emplacement aujourd’hui des bâtiments de l’AFP, ce cénacle sera l’inventeur du journalisme de faits-divers, alimentant les ambassades et les milieux artistiques et mondains d’informations inédites.