Dès les années 1850, la vie parisienne de Vallès est émaillée de séjours « à l’ombre », comme après le […]
Jules VALLES, l’insurgé parisien
Victor HUGO
J’ai écrit ces notes [Choses vues], très consciencieuses du reste, dans les premiers mois de 1848. […] J’observais […]
Pierre Corneille
Encore du bel ouvrage qui sort des presses des éditions Petit à petit. Encore un beau jardin qui […]
Diderot le Parisien
En 1729, Denis Diderot n’a pas 16 ans quand il débarque dans la capitale.
Sans doute ignore-t-il que jamais ou presque il ne reviendra à Langres.
Du “Procope” au collège d’Harcourt en passant par ses domiciles successifs,
Jean-Christophe Sarrot nous guide dans ses pas.
A L'ENSEIGNE DE LA POMME DE PIN
Le seul reproche au demeurant,
Qu’aient pu mériter mes parents
C’est n’avoir pas vécu bon sang,
Entre Quatorze et Quinze cent
Georges Brassens : Le Moyenâgeux
2e balade littéraire à Paris sur les pas des Communards et des Versaillais
Après le scandale de l’affaire Victor Noir[[Pierre Bonaparte, cousin de l’Empereur, tue le 10 janvier le journaliste Victor […]
Le patrimoine littéraire picard expliqué aux enfants
Soucieux de réinventer constamment des passerelles qui mènent à la découverte d’un écrivain, les membres du Réseau des Maisons et lieux d’écrivains en Picardie animent régulièrement leur site par des manifestations grand public en tout genre : expositions, conférences, rencontres, ateliers, colloques…
Le Café L’ESCALIER
Le pèlerinage au tombeau de Saint Denis préparé par Sainte Geneviève au V° siècle a donné son nom à la Grant-Chaussiée-Monsieur-Denis.
La rue Saint Denis allait de la rue Troussevache, jusqu’à la porte de la première enceinte, puis de la deuxième et troisième enceinte, celle de Philippe Auguste pour se prolonger à la limite de la nouvelle porte en 1418 à la rue des deux Portes (rue Neuve Saint Denis, enfin aujourd’hui rue Blondel).
Ce bâtiment date du XVII° siècle, mais semble remonter à l’origine au XI° d’après un mémoire de la Société de l’Histoire de Paris qui indique que c’était établie là une léproserie. Remplaçant une abbaye dédié à Saint Laurent qui fut détruite par les Normands (885-888).
Vous avez sans doute deviné que ce lieu fait également parti de l’histoire de la prison Saint Lazare, qui sera l’objet d’un prochain article.
L’Hôpital Lariboisière
Regardez bien cette image de la place Pigalle.
Si vous allez vous y promenez aujourd’hui, vous verrez ce que « le Progrès » a fait d’une des plus jolies fontaines parisiennes construites par Davioux !
Le Café de La Régence
Je dois à mon ami Philippe Godoy[[Philippe Godoy est universitaire, professeur de littérature comparée, historien des premiers et deuxièmes arrondissements.
Vient de paraître : Alain Goudot et Philippe Godoy, Carnet de Paris 1er & 2e arrondissements, Le cœur Historique Equinoxe septembre 2005.]], d’avoir réussi à situer avec précision le lieu de cet établissement.
Ce café était à l’emplacement de l’ancienne porte Saint-honoré, où Jeanne d’Arc voulant reprendre Paris aux Anglais, le 8 septembre 1429, eut la cuisse transpercée d’une flèche, alors qu’elle sondait le fossé rempli d’eau pour le faire combler avec des fagots, comme l’indique l’inscription dans un macaron située au dessus de la porte de l’immeuble