« J’ai entendu dire aux pauvres : travaillez ! Je n’ai pas vu que cela leur donnât de l’ouvrage […]
1848 : des écrivains sur les barricades
La bohème littéraire à Paris
L’humour et le comique de situation des Scènes de la vie de bohème font encore mouche aujourd’hui, pour […]
1848 : les pauvres ne sont plus romantiques
Lorsque le peuple entre en scène en juin 1848, ce n’est pas pour jouer le rôle qu’avaient écrit pour lui les écrivains romantiques (qui sont alors, pour peu de temps encore, à la tête de la République). Après 1848, les pauvres ne sont plus – excepté pour Hugo, Sand et quelques autres – ce qu’ils étaient jusqu’alors pour les romantiques : le ferment principal d’une société plus juste et plus humaine.
Clémence ROBERT à Mâcon et Paris
Peut-être aurons-nous un jour le bonheur de redécouvrir l’oeuvre de Clémence Robert, ignorée aujourd’hui par les éditeurs (de […]
Balade littéraire à Paris pendant les révolutions de 1848 (3)
1) Chateaubriand meurt 120 rue du Bac en juillet 1848, comme pour montrer par un geste définitif son […]
Balade sur les pas des écrivains pendant les révolutions de 1848 (2)
1) Le Peuple constituant, 154 rue Montmartre, est lancé par Lamennais le 27 février 1848 et paraît jusqu’en […]
Charles-Marie LECONTE DE LISLE
Je le range parmi les très rares vedettes qui ont traversé ce monde sans se livrer, qui ont […]
La salle Valentino
George SAND en 1848
[Lamartine], jésuite naïf, espèce de Lafayette qui veut être président de la République, et qui en viendra à […]