À la sortie du métro « Grands boulevards » (anciennement « Rue Montmartre »), à l’intersection nord du boulevard et de la […]
Le café Brébant à Paris
4e balade littéraire à Paris sur les pas des Communards et des Versaillais (de la rue Montmartre à Saint-Augustin)
Départ : métro Grands boulevards. Arrivée : métro Saint-Augustin. Durée : 2 heures 30. 1) Le Mot d’ordre […]
Premiers pas dans le roman policier historique à Paris
Ce texte ouvre un ensemble d’articles que www.terresdecrivains.com a déjà commencé à mettre en ligne sur le thème du roman policier historique à Paris. N’hésitez pas à y rajouter votre grain de sel en bas de page 🙂 !
La chute de la « Maison Thiers »
Quelques notices biographiques, quelques images et pièces justificatives.
La Chute de la « Maison Thiers »
Cette version est contredite par les historiens et chroniqueurs de cette période. Le bulletin de la société historique de la Ville de Paris indique que les meubles et objets furent transportés aux Tuileries et disparurent dans l’incendie allumé par la Commune le 26 mai… Un petit livre paru récemment reprend presque mot à mot sans la citer cette version.
L’historien académicien, le duc de Castres, annonce que l’hôtel fut brûlé à la fin de la Commune. Le pourtant très brillant historien Stéphane Rials règle cette histoire en deux lignes.
Il reste encore un travail énorme de recherches, et des sources sont encore inexploitées, tant aux archives du S.H.A.T qu’aux Archives nationales ou de Paris.
Les « Figaro » dans le neuvième arrondissement.
Si vous pouvez trouver dans les dictionnaires actuels, les noms de Mireille Truc et Johnny Machin, les noms cités ici n’y sont pas admis….
Au Petit Rocher
Le repas complet coûte trente sous, la spécialité maison est le pot-au-feu.
La démolition de l’Hôtel de la Place Saint-Georges
Grisettes, Bredas, Lorettes, Dégrafées, Allongées, Camélias, Linges, Torchons etc…
Charles-Marie LECONTE DE LISLE
Je le range parmi les très rares vedettes qui ont traversé ce monde sans se livrer, qui ont […]
La chute de la « maison Thiers »
Pour rétablir quelques faits ignorés ou passés sous silence, et répondre aux erreurs publiées depuis 136 ans.
Tous les documents et « témoignages à chaud » sont accessibles à tous, pour la plupart, depuis juin 1871.
Les personnes citées ont résidé aux adresses indiquées.