Lorsque le peuple entre en scène en juin 1848, ce n’est pas pour jouer le rôle qu’avaient écrit pour lui les écrivains romantiques (qui sont alors, pour peu de temps encore, à la tête de la République). Après 1848, les pauvres ne sont plus – excepté pour Hugo, Sand et quelques autres – ce qu’ils étaient jusqu’alors pour les romantiques : le ferment principal d’une société plus juste et plus humaine.
1848 : les pauvres ne sont plus romantiques
Juin 1832, l’insurrection oubliée
« En somme, à part ceux que l’on a appelés depuis les centriers, les ventrus et les satisfaits, […]
Saint-Simon et les saint-simoniens et les écrivains qui croisent leur route dans les années 1810 à 1830 à Paris
« L’influence et le développement du saint-simonisme jusqu’à la fin du XIXe siècle n’ont à peu près aucun caractère […]
Une Ténébreuse affaire : un roman policier champenois de Balzac ?
Avec Une Ténébreuse affaire (qui paraît dans Le Commerce entre le 14 janvier et le 20 février 1841 […]
Mystère rue des Saints-pères
Avec les aventures de Victor Legris, nous ne pénétrons pas dans les couloirs du pouvoir de la IIIe […]
Jamaica Inn : A Reflection of Daphne du Maurier’s Cornwall (IV)
INTRODUCTORY CHAPTER A biography WRITING CORNWALL a Setting and plot b Suspense and mystery c Daphne du Maurier’s […]
Balades dans le Montmartre d’en haut
Quelques pas dans le Montmartre littéraire et artistique des années 1900 ? Suivez le guide ! 1) Jehan […]
Les poètes des années 1860-1890
Le texte suivant est une introduction aux balades 500, 562, 565 . «Rimbaud est sans doute le mythe […]
Romans policiers historiques de la Grande guerre
L’arme secrète de Louis Renault (Thierry Bourcy, 2006), La Der des der (Didier Daeninckx, 1984), Le Boucher des Hurlus (Jean Amila, 1982), Les Ames grises (Philippe Claudel, 2003) et Un long dimanche de fiançailles (Sébastien Japrisot)[[Il faudrait ajouter à cette liste le roman Ras le casque et la nouvelle L’Unijambiste de la cote 284 de Pierre Siniac.]] sont cinq romans qui, chacun dans leur genre, nous aident à ne pas oublier ce que fut la Grande guerre.
Robert-Louis STEVENSON at Compiègne
En 1876, un Stevenson de 26 ans navigue sur les rivières de France, entre Maubeuge et Conflans-Sainte-Honorine. Il arrivera ensuite par la route à Grez-sur-Loing, où il fera connaissance avec sa future femme, Fanny Osbourne. Voici un extrait (en anglais dans le texte) de An Inland voyage (La France que j’aime), où l’écrivain décrit son séjour à Compiègne.