Certains ont besoin d’une tour d’ivoire pour écrire, d’autres d’une grande famille.Nohant, c’était la grande famille de George […]
Au quotidien avec George SAND à Nohant
Walter SCOTT à Kenilworth et Cheltenham
Aujourd’hui, l’hôtel existe toujours au croisement de Station Road et de Warwick Road, mais a été démoli puis […]
Victor HUGO à Bruxelles
Victor Hugo avait découvert Bruxelles en 1837 avec Juliette Drouet et en avait été « ébloui », comme il l’a […]
À lire : « Paris romantique, la capitale des enfants du siècle »
Magnifique ouvrage à l’iconographie aussi précieuse que le texte, Paris romantique. La capitale des enfants du siècle[[Par Thierry […]
Alfred de MUSSET à Paris, Mazangé et ailleurs
Génie précoce au coeur malade (il souffre d’une insuffisance aortique[[Le poète donnera son nom au « signe de Musset […]
Un petit point de topographie romantique
Si le souci m’est venu d’éclaircir le point de topographie dont je vais parler, la faute en est […]
Dans l’impasse du Doyenné à Paris, vers 1835
En 1835, le 3 impasse du Doyenné accueille une bohême aisée, autour du peintre Camille Rogier et de Gérard Labrunie (bientôt de Nerval), les deux locataires du lieu – Rogier habitait auparavant 5 rue des Beaux Arts. Arsène Houssaye les rejoint bientôt. Théophile Gautier habite alors à quelques dizaines de mètres, rue du Doyenné. Sur les plans et dans les écrits de l’époque, on confond souvent l’impasse et la rue du Doyenné. Tout ce quartier sera définitivement rayé de la carte en 1850. Essayons d’y voir un peu plus clair.
STENDHAL à Lyon
Stendhal, grand voyageur qui aima passionnément l’Italie, était attiré, non pas tant par la ville de Lyon que […]
L’hôtel Beauvau à Marseille
Situé 4 rue Beauvau, l’hôtel Beauvau donne de l’autre côté sur le Vieux port. Il a accueilli Lamartine […]
Gérard de NERVAL à Saint-Germain-en-Laye
Comme l’écrivait Claude Pichois, Professeur émérite à la Sorbonne, en 2002 dans la préface à l’essai de Christian […]