« Nous rêvons une vie, nous en vivons une autre, mais celle que nous rêvons est la vraie » (Jean […]
Jean GUÉHENNO à Fougères
Le congrès des écrivains de juin 1935 (balade autour du boulevard Saint-Germain)
Chez Daniel Halévy, Chamson, Malraux, Gide, Roger Martin du Gard, de même que chez Jean Schlumberger rue d’Assas, […]
Le congrès des écrivains de juin 1935 (introduction à trois balades parisiennes)
« Je crois que ce qui retient bon nombre de nos écrivains, c’est leur manque de confiance dans le […]
Balades dans le Montmartre d’en haut
Quelques pas dans le Montmartre littéraire et artistique des années 1900 ? Suivez le guide ! 1) Jehan […]
Jean PAULHAN à Nîmes, Paris, Port-Cros…
« La vie est en général joyeuse. […] Elle est joyeuse dans les pires moments, elle a un […]
Sur les pas d’Hemingway à Paris (1921-1923)
Suivre Hemingway dans ses premières années à Paris est passionnant à plus d’un titre : – Paris a […]
Saint-Germain-des-Prés occupé
1) Nous sommes en 1942. Les négociations vont alors bon train pour tenter de donner un nouveau comité […]
Sur les traces de la NRF, d’Albert Camus et de Gerhard Heller, à Paris sous l’Occupation
En mai 1940, c’est l’état de choc comme en 1870. La guerre avec l’Allemagne a été déclarée en septembre 1939. Il ne s’est rien passé pendant les huit mois de « drôle de guerre » et d’immobilité des troupes, jusqu’au 10 mai 1940 et la percée éclair de l’armée allemande qui contourne la ligne Maginot par la Belgique, franchit la Meuse près de Sedan le 13, bombarde Paris le 3 juin et entre dans la capitale le 14. Deux millions de soldats français sont bientôt prisonniers.
Sur les pas de Nadja et André Breton à Paris
Dans Nadja et ses oeuvres des années vingt, André Breton expérimente un rapport aux lieux (et en particulier à Paris) qui ne s’appuie ni sur le souvenir ni sur le passé, mais sur la rencontre, la déambulation, la recherche de signes, de l’insolite et de l’inattendu. Tout cela afin de se libérer de l’histoire, de la morale bourgeoise, de sa propre histoire et de toutes les autres contraintes, pour tenter de parvenir à soi.
Partir aujourd’hui, Nadja à la main, en quête de ces signes n’est donc pas chose aisée, puisque l’auteur a peu décrit ces rencontres, de peur d’enfermer son lecteur dans un lieu, un temps et une situation donnés. Il ne s’agit rien de moins que de libérer l’homme, tout de même !
Expérience…
Romain ROLLAND
La maison natale de l’écrivain est à l’époque le 4 rue de l’Hospice (devenue rue Romain-Rolland). Elle jouxte […]